Cette page de manuel ne se veut pas exhaustive. La documentation complète pour cette version de TeX peut être trouvée dans le fichier info ou dans le manuel
Web2C: A TeX implementation.
TeX
formate un canevas de texte et de commandes (balises) contenus dans un fichier et produit en sortie un fichier indépendant (appelé
DVI,
acronyme pour
DeVice Independent).
Les possibilités de TeX ainsi que le langage sont décrits dans
The TeX
book.
TeX
est habituellement utilisé avec un corps important de macros précompilées,
et il existe différents systèmes de formatage spécifiques, comme
LaTeX
qui requièrent le support de quelques fichiers macro.
Pour cette version de TeX regardez à la ligne de commande pour voir à quel nom il est fait appel.
initex
et
virtex
sont des liens symboliques vers un exécutable
tex
initex
(ou lorsque l'option
--ini
est donnée) on peut l'utiliser pour précompiler des macros dans un fichier
.fmt
virtex
il utilisera le format
plain
tex
c'est le format
tex
qui est utilisé, qui est identique au format
plain
plain
sont documentées dans le
The TeX
book.
Les autres formats qui sont souvent disponibles incluent
latex
et
amstex.
Les
commandes
données sur la ligne de commande au programme
TeX lui sont passées comme première ligne d'entrée. (Mais il est souvent plus facile de taper des arguments étendus comme première ligne d'entrée, car les shells UNIX
ont une tendance à sauter ou mésinterpréter les symboles spécifiques à
TeX, comme les antislash, à moins de les mettre entre guillemets.)
Comme il est décrit dans
The TeX
book,
cette première ligne doit commencer avec un nom de fichier
\controlsequence,
ou un
&nom_de_format.
L'usage normal est de dire
-
tex paper
pour produire un fichier
paper.tex.
Le nom
paper
sera le nom de la tâche, qui sera exécutée tout en donnant en sortie des noms de fichier (comme *.dvi, *.aux, *.log)
Si TeX ne donne pas de nom de fichier dans la première ligne, le nom de la tâche est une sortie
texput.
Si on recherche un fichier, TeX recherchera le nom avec ou sans l'extension par défaut
(.tex)
à moins que le fichier recherché ne contienne déjà cette extension. Si
paper
est le nom de la tâche, un fichier log contenant les messages d'erreur sera produit, avec beaucoup plus de détails qu'il n'y en a normalement à l'écran
paper.log,
et dans le fichier de sortie
paper.dvi.
TeX va regarder dans la première ligne du fichier
paper.tex
pour voir si le début commence par la séquence magique
%&.
Si la première ligne commence par
%&format
--translate-file tcxname
alors TeX utilisera le format et la table de traduction
tcxname
pour compiler le fichier source. Ou le nom du format ou les spécifications de
--translate-file
peuvent être omises, mais pas les deux.
La réponse
e
à une erreur du prompt de TeX oblige l'éditeur système par défaut à commencer par la première ligne courante du fichier courant.
La variable d'environnement TEXEDIT peut être utilisée pour changer les données de l'éditeur.
Elle peut contenir une chaîne avec un « %s » indiquant où est le nom de fichier et « %d »
indiquant où est le nombre en décimal de la ligne (s'il y en a).
Par exemple, la chaîne
a TEXEDIT
pour emacs
peut-être définie par la commande
sh
-
TEXEDIT="emacs +%d %s"; export TEXEDIT
Un fichier utile dans la bibliothèque est
null.tex,
qui ne contient rien.
Lorsque TeX ne trouve pas un fichier qu'il pense que vous voulez passer en entrée, il reste là à vous demander un autre nom de fichier ;
répondre « null » vous fait sortir de la boucle, si vous ne voulez pas entrer quelque chose